Le lieu est forcément atypique. La décoration faite de bric et de broc met tout de suite à l’aise,… l’endroit respire la tranquilité.

Accueilli par Sabine, principale communiquante, toute en sourrire, elle me propose de nous poser à l’extérieur pour plus de facilité. Après installation, l’interview démarre et je me rends vite compte que le projet est non seulement réfléchit mais conçu dès le départ pour collaborer avec d’autres structures y compris l’agglo. Il ne s’agit pas ici de recylcer mais bien de réemployer tout objet du quotidien.

L’association va au contact pour reccueillir des matériaux et matériels. Il doivent être fonctionnels pour espérer retrouver une seconde jeunesse. La ressourcerie verte fait aussi des ateliers réparation, une matériauthèque et se met en 4 pour joindre l’utile à l’agréable. Parce que c’est bien un souffle salvateur qui fuite un peu partout dans le lieu et inspire. Prendre le temps, échanger et se débarasser des oripaux de la consommation sans limite.

Si Sabine a le sourrire, c’est en fait le cas de tous et toutes à l’instar de Marie Hélène, qui d’un ton ferme, mais joyeux te demande de te laver les mains avant d’entrer. Arthur en me faisant visiter montre combien il est facile d’être utile. L’impression du désordre est une chimère puisque tout est classé et organisé. Les prix sont libres, fixés par les adhérents mais les membres de l’association se permettront d’argumenter un peu si le prix donné est trop bas.
Alors avant d’acheter du neuf, faites un tour à la ressourcerie verte mais avant quelques images !

Philippe

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